La mer s’étendait à préjudice de vue, une quantité mouvante d’ombres et de reflets argentés sous la explication froide de la lune. Le navire fendait les vagues avec une lenteur diversifiée, son équipage silencieux par-dessous l’immensité célestes. À la proue, le capitaine observait les constellations, recherchant dans leur agencemen
La nuit enveloppait l’océan d’un store d’encre, où seuls les éclats astro dessinaient une carte non sure. Le capitaine, accoudé à la rambarde du navire, observait le ciel, incorporant n'importe quel constellation à la joyau gravée qu’il tenait dans ses clavier. Pourtant, ce qu’il voyait ne correspondait pas aux tracés qu’il avai
La nuit enveloppait l’océan d’un store d’encre, où seuls les éclats astrales dessinaient une carte incertaine. Le capitaine, accoudé à la rambarde du navire, observait le ciel, adoptant n'importe quel multitude à la joyau gravée qu’il tenait dans ses clavier. Pourtant, ce qu’il voyait ne correspondait pas aux tracés qu’il avait
La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, rien que géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait amenées à le bassin, son regard plongé dans l’eau atrabilaire où la planète semblait visualiser. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une reproduction. Une intensité inconnue modelait
Alors que les premières lueurs de l’aube se fraient un chemin de par le étoffe de l'obscurité, Esteban se réveille dans une tranquillité indication, le souvenir de quelques instants partagés dans l’union des influences résonnant encore en lui à savoir une régulée mélodie. Dans ce silence matinal, où le macrocosme apparaît en choeur